Memoria en streaming

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Une horticultrice écossaise spécialisée dans les orchidées rend visite à sa sœur malade, à Bogota en Colombie. Au cours de son séjour, elle se lie d'amitié avec une archéologue française, en charge du suivi d'un projet de construction, et avec un jeune musicien local. Chaque nuit, elle est dérangée par des détonations de plus en plus fortes qui l'empêchent de dormir...
Memoria

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  • mercilienmortthankyouplusunUnDeuxtrois
    quatrecinqsixsepthuitneufdix

davidaime

 

 

 

"L'art est né d'un monde mal conçu"
Andreï Tarkovski

 

 

 


Par davidaime | Premium 4.06.2018
hermès

 

 

 

@david merci pour "obtus", maintenant je saurai répondre, qu un angle obtus est un angle ouvert sur l horizon ,) "En mathématiques, un angle obtus est un angle saillant dont la mesure est supérieure à celle de l'angle droit, autrement dit un angle dont la mesure en degrés est comprise entre 90° et 180°"

 

 

 


Par hermès | Non Premium --
hermès

 

 

 

tout geste et toute respiration est un acte politique de prise de parole ou devrait l être. Dans le film, le réalisateur parle et montre à voir sa foi comme combat à l autre, mais revendique en mm temps un pond vers l'autre afin de se convaincre, soi mm incarnant son peuple de traverser... Il me semble.

 

 

 


Par hermès | Non Premium --
hermès

 

 

 

@davidaime en reformulant, car de mémoire, l abbé pierre " toi, avec ta bonne conscience qui dit vouloir la paix alors que tu as tout. Le seigneur te regardera plus durement, car tu as plus de sang sur les mains en embrassant ton petit enfant à l'abri le soir, que le pauvre qui prend les armes par désespoir"... bien sure, je pourrais y émettre un mais.

 

 

 


Par hermès | Non Premium --
hermès

 

 

 

@davidaime non écarté d'office car tu es un outil-pivot, l'altérité cette charnière, afin de réfléchir de ma petite fenêtre à ma petite vie. Oui écarté d'office car je suis un je et non un nous... dans mon travail je suis un nous, mais je ne suis pas nous, je suis simplement moi. Oui c'est une maladie, la colère rend malhabile la rencontre vers l'autre, elle déforme le réel telle à la fenêtre "Du Gras" en son temps la vue sur la route. La colère n'a pas de prétention, elle est.

 

 

 


Par hermès | Non Premium --
davidaime

 

 

 

hermès: Je te laisse ta conscience malade et sûre d'elle-même; habile, certes, mais obtuse à toute considération extérieure alors qu'elle a la prétention de vouloir prouver le contraire et, apparemment, sans appel. Je te laisse te gorger de ta tortueuse vérité et m'en éloigne calmement ..mais n'en étais-je pas écarté d'office?

 

 

 


Par davidaime | Premium 4.06.2018
hermès

 

 

 

c'est ma faute... je n'aurais pas dû sortir du champ du film, je m'excuse. Depuis très longtemps je pense l'art être un synonyme au détritus... car il engendre la volonté d'égo... des chars romains au baroque en passant par le cinéma américain, l'art n'est là dans ce monde bien bas que pour des mauvaises raisons.

 

 

 


Par hermès | Non Premium --
hermès

 

 

 

no way c'est un singe parlant à un âne... mais je maintiens que c'est du "colonialisme", de l "impérialisme", du dédains de l'autre de croire que ta liberté innée ici à le mm sens que dans un bidonville, l'inclusion est une chose révoltante. Dire nous à la place de je, est une pensée touchant à travestir la vie de l’altérité... c'est un scandale, de croire qu'un enfant nait de parents illettrés et sous le joug d'une classe sociale répressive soit libre un seul jour dans sa vie et que sa destinée est quelque chose en commun à ton coussin duveteux, ta dite liberté. Je n'aurai pas dû répondre à ta phrase si consensuelle et sans sens lu au second degré, c'est ma faute. Garde ta bonne conscience toute ta vie en mangeant ton magnum, tu as raison, de croire en soit ne pas être, comme tout à chacun, une partie du problème.

 

 

 


Par hermès | Non Premium --
davidaime

 

 

 

hermès: Bien sûr que j'inclue tout le monde dans cette liberté fondamentale, l'une des rares qu'aucun totalitarisme ne peut réellement obliger à se taire même si il tente par tous les moyens de la corrompre, celle de penser. Tout un chacun et particulièrement un enfant (de n'importe où) ne comprendrait ni n'accepterait, il me semble (enfin j'ai l'ingénuité de l'espérer), cette terrible restriction dont tu l'affubles.
Les débordements d'incompréhension auxquels tu te livres quant à mes quelques propos me laissent pantois. Tant est si bien que je me demande ce que tu crois y avoir décelé et je n'oserai qu'une humble certitude: tu es à côté de la plaque.

 

 

 


Par davidaime | Premium 4.06.2018
hermès

 

 

 

Pourquoi écrire nous à la place de je? je crains que les enfants de Manille ou d'ailleurs, ne comprennent pas pourquoi tu les inclus dans ta liberté individuelle. Je ne peux pas comprendre ta phrase dans le sens que tu lui prêtes, car alors je commencerais à avoir du dédains. Humainement, je ne peux pas l'entendre, car cela est une phrase valise. Un fourre-tout des plus criminels. Nous ne sommes libre de rien et surtout pas ni de nos perceptions ni de nos interprétations. La liberté est un mythe vers lequel l humain tend par utopie, en détruisant la pluralité du vivant. Je m'excuse de ma réponse.

 

 

 


Par hermès | Non Premium --
davidaime

 

 

 

..oui, nous sommes libres de notre (nos) perception(s) et de leurs interprétations et la variété est grande à notre disposition.

 

 

 


Par davidaime | Premium 4.06.2018
hermès

 

 

 

L'avantage de ce type de film c'est qu'en 15 clics et deux minutes plus tard on a un avis. Une contemplation entre fiction et documentaire, un souffle de vie. Mais est ce fait pour aller voir au musée, en salle, sur son pc, ou sur sa tablette? La radicalité du film pour moi est dans la négation que l'être est un produit, et que le cinéma d'hier puisse devenir une ballade d'aujourd'hui. Sauf qu'au silence des musées s'amusent les enfants dans sa cour car de musée tel dans le film montré c'est un cube vide, la critique que je porte est justement sur la perdition de cette femme, qui de la vie offre l'envie de chuter, parceque la caméra est si distancié et le cut entre les scènes si peu dynamique, qu'alors au lieu d'un style c'est un supplice. Les œuvres sont souvent dure à regarder parceque le média n'est pas adaptable mais spécifique. Et faire alors un cinéma intime et pudique en demandant au spectateur d'avoir une tv de 6000 euros pour pouvoir apprécier l'œuvre pleinement poétique est une erreur pour moi qui touche à l'autisme. En revanche ce film en juste 15 clics m'a ébloui car justement je n'y ai passé que 2 min et mon bol fut plein pour nourrir mon imaginaire jusqu'ici.

 

 

 


Par hermès | Non Premium --
Napoleon1889

 

 

 

Je suis allé jusqu'au bout et j'ai voulu arrêter plus d'une fois.......mon plus grand regret étant de ne pas m'être écouté dès la première fois

 

 

 


Par Napoleon1889 | Premium 27.01.2022
davidaime

 

 

 

Loin de l'ordonnancement habituel du récit, loin du réel et pourtant tout contre lui, déroutant par sa radicalité; comme un mot qu'on a sur le bout de la langue et qu'on n'arrive pas à retrouver et plus on cherche plus il s'éloigne, tout effort de formulation semble vain, toute tentative de clarification provoque l'effacement; "Memoria" nous échappe!
Alors, se détourner, quitter cette voie? D'une certaine manière, oui. Mais plutôt qu'abandonner, s'abandonner. Au lieu de refuser, accepter et faire confiance à l'extraordinaire capacité qu'a l'esprit de se modeler, de se réinventer par deçà toute compréhension. Au moins le temps d'un film, appréhender tout ce qui se passe à l'écran différemment, cet univers si familier qu'on regarde pratiquement toujours du même endroit, avec les mêmes yeux, les mêmes repères inscrits dans notre mémoire, ... un pas de côté qui ne coûte pas grand chose et ne peut que nous enrichir d'une expérience nouvelle. Car c'est un film qui parle d'esprits à l'esprit.
Apichatpong Weerasethakul regarde le monde comme s'il le découvrait pour la première fois et nous fait part de ce qu'il a perçu avec l'objectivité d'un extraterrestre.
Un grand moment de temps dilaté, de chaos dans la beauté, un grand moment inoubliable.

 

 

 


Par davidaime | Premium 4.06.2018
NICOLEL

 

 

 

Dubitatif, je suis.

 

 

 


Par NICOLEL | Premium 9.03.2022
Tromimi

 

 

 

Bien Chiant et sans intérêt

 

 

 


Par Tromimi | 21.03.2021